Face aux milliers de vues d’un tweet ou d’une vidéo, Nazan Özcan regrette la
baisse d’intérêt de la population dans la recherche d’information : “J’ai l’impression que les gens ne veulent pas voir
ou lire la vérité, il y a une atmosphère étrange qui s’est établie, les gens croient plus facilement en ce qui n’est pas
vrai. Cette atmosphère aecte fortement le journalisme."